SECURITE - PREVENTION
Nous nous engageons pour :
► L'ouverture d'un centre d'écoute et de prévention contre l'alcoolisme et les toxicomanies au sein du Centre Communal d'Action Sociale.
► La mise en place d'une antenne d'écoute et de prévention contre les violences faites aux femmes.
► La réouverture d'un planning familial.
► L'implantation d'une police de proximité présente à la sortie des écoles.
Pour information:
A mesure qu’approche l’échéance des élections municipales, des enjeux majeurs de politique locale refont surface. Ainsi en va-t-il de la gestion de l'eau. En France, 60% des municipalités ont choisi de déléguer sa distribution et son assainissement à une entreprise privée. Trois groupes se partagent actuellement ce marché: Veolia (anciennement Vivendi Environnement et Compagnie générale des eaux), Suez (ancienne Lyonnaise des eaux) et la Saur (détenue par la Caisse des Dépôts, Séché Environnement et AXA).
Alors que beaucoup des contrats de délégation arrivent à échéance dans les prochaines années, des élus militent pour un retour à un système de régie, soit un système où le service public de l’eau est directement assuré par la collectivité locale. Principal argument: les majors surfacturent l’eau à l’usager, réalisent ainsi des profits colossaux et pérennisent leur oligopole à grand renfort de corruption.
Jean-Luc Touly, ancien syndicaliste CGT de Véolia, est le président d’Acme (Association pour un contrat mondial de l’eau), qui fait circuler la pétition "Halte à la surfacturation et au gaspillage de l'eau!" Selon lui, "80% de la population en France vit sous un système de délégation du service public de l’eau". En s’appuyant sur un rapport publié en novembre par l’association de consommateurs UFC-Que Choisir, il dénonce "un système pervers" dans lequel "les marges nettes de bénéfices" réalisées par les grands groupes privés de l’eau représentent "de 40 à 61%" du prix de l’eau:
Rédigé par : Galejaïre | 14 février 2008 à 09:53